Protégez votre REER grâce à l’assurance maladies graves, CELIAPP : une chance de gagner 8 000$ et suivi des marchés

Paradmin

Protégez votre REER grâce à l’assurance maladies graves, CELIAPP : une chance de gagner 8 000$ et suivi des marchés

Protégez votre REER grâce à l’assurance maladies graves

Lorsque nous parlons d’assurance, nous avons tendance à prioriser l’assurance vie et l’assurance invalidité et d’oublier l’assurance maladies graves.

Il faut se rappeler que l’assurance maladies graves vous permet d’avoir un montant d’argent non imposable en cas de détection d’une maladie grave. Cet argent va vous permettre de compenser une perte de revenus pour vous ou encore votre conjoint s’il doit devenir un aidant naturel ou si vous avez des grosses dépenses médicales non couvertes.

Si en cas de maladie grave, vous deviez faire un retrait de 100 000$ net de vos REER, c’est la somme de 215 193$ brut qu’il faudra retirer.

Pour rattraper votre retard après un tel retrait, il vous faudra faire le choix suivant :

  • Retarder votre retraite de 15 ans ou
  • Augmenter de quatre fois (4x) le montant des cotisations REER mensuelles que vous auriez normalement versées ou
  • Prendre votre retraite avec 80% moins d’argent que prévu

Si cette situation vous préoccupe, nous vous invitons à nous contacter. Nous avons des outils pour vous aider à déterminer le montant de protection nécessaire en cas de maladies graves.

CELIAPP : une chance de gagner 8 000$

Pour souligner le lancement du CELIAPP à partir du 1er avril, Fidelity vous offre la chance de gagner 8 000$ pouvant servir à maximiser votre cotisation 2023.

Vous avez jusqu’au 24 avril 2023 pour participer au concours via le lien suivant.

Bonne chance!

Suivi des marchés

Le mois de février aura été l’inverse du mois de janvier pour les marchés nord-américains. Les chiffres d’emplois, meilleurs que prévus ainsi qu’une inflation qui ralentit moins vite que prévue ont fait chuter les marchés.

Le marché s’attend à voir des hausses de taux en mars et en avril aux États-Unis et en avril au Canada, de 0.25% à chaque fois. La prévision long terme pour les États-Unis mise toujours pour un taux entre 5% et 5.50%.

Les marchés ont offert un bel exemple d’écoute sélective la semaine passée. Après avoir été avertis à plusieurs reprises par les intervenants de la Fed que l’inflation persistante nécessiterait de maintenir des taux plus élevés pendant plus longtemps, le message retenu par les investisseurs a été l’ouverture exprimée jeudi par Ralphael Bostic, représentant de la Réserve fédérale d’Atlanta, face à une pause potentielle cet été. Ce message a rassuré les marchés et alimenté l’appétit pour les obligations et les actifs risqués. Plus tôt dans la semaine, l’impact des données économiques décentes en Chine a été neutralisé par des données d’ISM plutôt décevantes aux États-Unis et par la vigueur persistante des prix payés.

Marchés obligataires

Après avoir été soumises à rude épreuve au cours des dernières semaines en raison de l’inflation persistante et du discours des autorités monétaires sur la nécessité de maintenir les taux élevés pendant plus longtemps, les bons du Trésor américains à 10 ans ont finalement franchi la barre des 4 %. Malgré l’ouverture exprimée par M. Bostic face à une pause du resserrement monétaire cet été, laquelle a légèrement freiné la hausse des rendements à la clôture des marchés et maintenu les taux à 10 ans autour de 4 %, le taux terminal se rapproche de 5,5 %. Les rendements obligataires ont aussi augmenté légèrement au Canada, mais les investisseurs sont surtout préoccupés par la prochaine réunion de la Banque du Canada. Du côté des titres de crédit, les niveaux ont légèrement baissé, mais la dynamique favorable s’est certainement essoufflée, comme l’indiquent les données sur les sorties de fonds.

Marchés boursiers

La saison des résultats aux États-Unis étant presque terminée, l’attention se tourne maintenant du côté des entreprises canadiennes, notamment les banques, qui publiaient leurs résultats cette semaine. Dans l’ensemble, les résultats ont été légèrement supérieurs aux attentes grâce aux opérations sur les marchés des capitaux. La croissance des prêts et les marges d’intérêt nettes sont restées fortes, mais nous commençons à observer une détérioration du taux de variation de ces paramètres. Bien que la qualité du crédit continue de se normaliser, les provisions pour pertes sur prêts restent inférieures à la moyenne de long terme. Dans le contexte de ralentissement de la croissance et de normalisation de l’environnement de crédit, la gestion de la base des coûts reste une priorité pour les différentes équipes de direction.

Sources: Placements Mackenzie, Barron’s, Reuters, Bloomberg, FactSet, CNBC, Tradingeconomics, Moody’s, IAGP.

Les opinions exprimées dans cette infolettre sont celles de Vincent Pelle et ne reflètent pas nécessairement celles de Services en Placements Peak. Elles reposent sur des informations et ou conditions de marché qui peuvent changer sans pré-avis. Il ne s’agit en aucun temps des conseils en matière de placements. Les sources utilisées sont considérées fiables par l’auteure, mais ne sont pas garanties.

À propos de l’auteur

admin administrator